2ème clé de la transition – Transformer les murs qui nous séparent en ponts !

par | 4 Mar 2020 | Communication, Développement personnel, Non-violence active | 0 commentaires

Dans cet article, nous apprendrons à faire tomber les murs qui nous séparent, à les transformer en ponts, afin de vivre des relations ouvertes, vraies et vivifiantes… à sortir de la violence !

Cet article est le 5ème d’une série sur les « 7 clés de la transition » que vous trouverez sur www.le-blog-des-leaders.com . L’article précédent, dans la Newsletter de décembre,  « 2ème clé de la transition – Devenir conscient des mécanismes qui ferment la relation !» a introduit les trois mécanismes qui ferment la relation : le ping-pong des accusations, le ping-pong des vérités et filer à la solution… trois formes de violence qui construisent un mur ou un fossé entre moi et l’autre. Nous avons aussi parcouru le processus d’évolution et d’apprentissage de l’être humain : au début, je suis inconsciemment-incompétent ; puis, je traverse les contractions de la transition, l’étape de la conscientisation où je deviens consciemment-incompétent, et celle de l’apprentissage où je suis consciemment-compétent ; et pour terminer, la naissance, je deviens inconsciemment-compétent, j’ai intégré le nouvel apprentissage.

Les mécanismes de la relation non-violente

Dans l’article précédent, nous avions aussi vu qu’être non-violent n’est pas ne jamais être violent, au sens de la Roue du Changement de Regard, c’est devenir de plus en plus conscient de sa propre violence, ne pas la justifier et apprendre à en sortir.

La non-violence active n’est donc pas le contraire, ni la négation de la violence.

Je désire insister : être non-violent, ce n’est pas ne jamais être violent. C’est prendre conscience des murs que je construis (ou auxquels je participe) et œuvrer dès cet instant à les faire basculer pour les transformer en passerelles où circule la relation, en ouverture où la vie et la lumière peuvent à nouveau passer ! Il s’agit de créer des ponts plutôt que des murs !

Pour ce faire, nous avons besoin de deux clés :

A. Première clé : Me mettre à l’écoute de ce que l’autre cherche à me dire (la diagonale de l’écoute)

Diagonale de l’écoute

Seul l’autre est expert de ce qu’il vit, en lui et par rapport à moi. Me mettre à son écoute, c’est entrer dans son point de vue. En cas de tension ou de conflit, ce qu’il a dans les tripes et dans la tête est souvent son transparent (sa vérité) et mon rayé (ce qu’il me reproche). L’enjeu est donc de me mettre à l’écoute de ce qu’il dit de lui (son transparent I) et de ce qu’il dit de moi (mon rayé II). Une écoute active qui va me permettre de lui communiquer ce que j’ai perçu de son point de vue.

Écouter c’est se taire, se déplacer et accuser-réception :

  • Se taire : faire taire pendant un temps mon point de vue, mettre entre parenthèse ma vérité, mon vécu, pour faire de la place à ceux de l’autre.
  • Se déplacer : habiter le point de vue de l’autre et chercher à voir, à entendre, à comprendre, ce qu’il voit, ce qu’il entend, ce qu’il comprend. Se déplacer pas seulement physiquement et mentalement mais avec le cœur. Entrer en empathie avec son vécu, le rejoindre là où il est, ce qui ne veut pas dire nécessairement être d’accord avec lui. Empathie n’est pas synonyme de sympathie.

Un jour, j’ai été frappé par l’importance du point de vue à une exposition des photographies de Robert Hupka sur la Pietà de Michel Ange. La Pietà est une sculpture de la « descente de croix ». On y voit Jésus mort sur les genoux de sa mère. Dans une des pièces étaient exposées sur un mur arrondi les photos de la sculpture prises en décrivant un demi-cercle de face.

Dans une position sur la gauche, Marie semble penchée en avant au point que Jésus, s’il n’était pas de marbre, serait déjà tombé depuis longtemps.

De l’autre côté, la photo donne au contraire l’impression que Marie est assise en arrière, et Jésus, bien calé sur ses genoux, ne risque pas de tomber. La seule chose qui change est le point de vue du photographe. Imaginez un instant deux personnes observant chacune la Pietà depuis un de ces points de vue. Si elles se mettent à discuter, chacune sûre de sa vérité (ce qu’elle voit), elles vont s’affronter. Quelles que soient leurs réactions (vouloir avoir raison, comme dans la contre-violence ; ou laisser tomber comme dans la passivité), cette relation laissera une distance et un malaise entre elles ! Si, par contre, elles s’écoutent l’une l’autre, si elles se déplacent pour voir ce que l’autre voit, elles vont pouvoir s’enrichir du point de vue de l’autre et s’émerveiller ensemble de ce que l’artiste a pu exprimer dans ce bloc de marbre !

  • Accuser-réception : il est bon de signifier mon attention à l’autre, avec des petits mots « oui », « je vois » et des petits signes de la tête par exemple. Cependant, il est aussi nécessaire de reformuler avec mes mots, si possible à la forme interrogative (puisqu’il s’agit d’une hypothèse), de nommer ce que je crois avoir entendu, vu, senti, compris de ce que l’autre me dit. C’est ici que la relation s’incarne. Sans cette étape, l’autre ne sait pas qu’il est reçu, accepté, respecté dans son point de vue. Il ne se sent pas écouté. De mon côté, je risque fort de repartir avec des interprétations erronées. En nommant à la forme interrogative ce que j’ai cru percevoir, je donne l’occasion à l’autre de rester maître de son point de vue et d’éventuellement préciser au cas où ce n’est pas ce qu’il a voulu dire. Quand j’ai bien reformulé, je vis ce moment de bascule que permet souvent la reformulation, ce moment où je vois clairement à l’attitude non-verbale de l’autre qu’il se sent rejoint… et souvent il l’exprime.

La relation, c’est comme une danse, comme des allers retours de l’un vers l’autre sur un pont qui relie nos univers…

Les choses les plus importantes de notre vie ne sont pas extraordinaires ou grandioses. Ce sont les moments où nous nous sentons touchés l’un par l’autre.

Jack Kornfield

Se déplacer ne veut pas dire pour autant renoncer à son univers : ce n’est pas parce que je renomme bien ce que l’autre a voulu me dire et qu’il se sent compris, que je suis d’accord, ni que je les perçois, vois, comprends ou vis comme lui.
Me fondre dans l’univers de l’autre, être uniquement dans l’écoute, est une autre forme de violence. Si seuls son transparent et mon rayé ont le droit de cité, la Roue est en position fermée (verticale), le mur est présent. J’ai oublié d’exister : de dire mon point de vue (mon transparent) et ce qui me dérange chez l’autre (son rayé) !

B. Deuxième clé : Oser exister, exprimer ma vérité, être assertif
(la diagonale de l’expression

Diagonale de l’expression

Je suis seul expert de mon point de vue qui est constitué de deux aspects : ce que je dis de moi, ce que je vis, je sens, je vois (mon transparent III) ; et ce que je dis de l’autre, ce que je ressens par rapport à l’autre, en cas de tension ou de conflit ce que je lui reproche (son rayé IV).

Ici le principal piège est de m’exprimer en comparaison comme si « ou moi… ou toi » avait raison ; comme si « je t’ai écouté mais moi je…, j’ai plus raison que toi… ». La comparaison nous fait retomber immédiatement dans le mode de fonctionnement violent : « tout transparent », « tout rayé ».

Apprenons à rester dans la danse : « et toi… et moi »
Et « ton point de vue de La Pietà avec Jésus sur un toboggan » et « mon point de vue où il est bien calé dans le creux formé par le corps et les jambes de sa mère ». Bien sûr, d’aucuns pourraient objecter que dans le cas de cette sculpture, il s’agit d’un fait objectif, alors que dans beaucoup de relations nous sommes confrontés à des éléments subjectifs ! C’est exact, une des richesses de la relation est de nous permettre d’entrer dans le monde subjectif et personnel de l’autre. Objectif ou subjectif, cela ne change rien aux mécanismes de la relation et de la violence. Chacun est le seul expert de ce qu’il voit, sent, comprend. Cela ne devrait pas mettre les autres en danger : les visions, vécus, compréhensions différents ont le droit d’exister !

Combien de fois nous arrive-t-il de croire que nous sommes objectifs, alors même que toute chose est empreinte de la vision personnelle que nous en avons.

Sur le quai d’une gare, une dame a laissé tomber son stylo (sans valeur, un simple Bic) sur les rails. Évidemment, impossible d’aller le récupérer. Elle a l’air profondément affectée d’avoir perdu cet objet. Au fond de moi je me dis « Allez, ce n’est qu’un stylo, pourquoi se met-elle dans cet état ? » J’ai l’impression d’être objectif. Pourtant, sans m’en rendre compte, je porte en même temps sur cet objet une appréciation personnelle : pour moi, c’est un simple objet commun, usuel, sans grande valeur. J’apprends que cette dame est analphabète, ce stylo représente pour elle « la clé de la réussite ». Ce Bic revêt une grande valeur car c’est avec lui qu’elle apprend à écrire. Il symbolise le savoir qui lui fait défaut et qu’elle essaye d’acquérir. Qu’est-ce qui importe : avoir raison sur mon objectivité, « mais non, c’est un simple Bic », ou découvrir ce qu’il représente pour l’autre et ainsi aller à sa rencontre ?

Nos différences se complètent, parfois se frottent, toujours nous invitent à voir plus large !

Résumons-nous : pour qu’il y ait relation ouverte, les quatre quartiers et les deux diagonales sont nécessaires :

La relation est ouverte : la ligne qui sépare le transparent du rayé ne se superpose plus à celle qui sépare moi et l’autre… au lieu de la renforcer et de former un mur, elle forme à présent un pont, une passerelle entre moi et l’autre.

Revenons aux trois exemples que nous avons pris pour illustrer les mécanismes de la violence dans l’article précédent. « Ouvrir la relation » en pratiquant les deux diagonales, pourrait se faire de la façon suivante :

1er exemple : Un matin, quand le responsable IT arrive dans le bureau du responsable des achats, ce dernier l’interpelle. Il accueille son point de vue avant d’apporter le sien.

Resp. achats  – Il n’y a rien qui fonctionne ici : aujourd’hui, c’est l’imprimante, hier internet, avant la base de données… j’en ai marre et je me demande à quoi tu sers ??? En plus, tu as une équipe deux fois plus nombreuse que la mienne ! (Resp. IT tout rayé)
Resp. IT – Si je comprends bien, tu as eu plusieurs problèmes d’informatique, tu en as marre et tu as l’impression que nous ne faisons pas grand-chose pour vous aider malgré une équipe plus grande que la tienne ? (Diagonale de l’écoute, de ce que le resp. achats dit de lui, son transparent, et de ce qu’il me reproche, mon rayé)
Resp. achats  – Oui… En même temps, je sais que tu ne travailles pas que pour moi ! (Confirmation bonne écoute et début d’ouverture, transparent du resp. IT)
Resp. IT – C’est vrai, comme toi, je suis débordé : je tente de faire le maximum avec trop peu de moyen. Je t’avoue que les retards dans les achats ne nous aident pas et que je suis aussi parfois énervé contre toi et ton équipe. (Diagonale de l’expression, son transparent et le rayé de l’autre)
Resp. achats  – En fait, nous vivons la même chose !  (Transparent et rayé commun)
Resp. IT – Apparemment, oui, j’en prends conscience. Je te propose de chercher ensemble comment nous pourrions nous entraider plutôt que d’en rajouter… Qu’en penses-tu ?  (Confirmation bonne écoute et proposition)

2e exemple : Un responsable de chantier vient rencontrer son client pour régler la question des suppléments à facturer. Quand ce dernier refuse, il se met d’abord à son écoute avant d‘exposer son point de vue.

Resp. chantier  – Voici la liste des suppléments réalisés au cours du dernier mois, il y en a pour 145.500 € au total (sa vérité, son transparent)
Client – Je ne payerai rien : nous avions un accord bien clair, un budget tout compris ! (son transparent)
Resp. chantier  – Si je comprends bien, vous avez l’impression qu’on a changé unilatéralement ce qui était décidé ?
(Diagonale de l’écoute, transparent de l’autre et son rayé)
Client – Oui, bien sûr, je suis le seul à pouvoir prendre ce genre de décision. Je n’ai été averti de rien. Vous me mettez devant le fait accompli… et pas pour des broutilles !  (il confirme la bonne écoute et il précise sa vérité, son transparent, et le rayé de l’autre)
Resp. chantier  – C’est vrai que je ne vous ai pas informé : j’ai réglé cela au jour le jour avec votre chef de chantier. Je n’étais pas conscient que ça devait passer par vous au quotidien (il reconnaît son rayé)
Client – C’est vrai que nous n’en avons pas parlé, ni ne l’avons stipulé dans le contrat mais ça me paraît évident!  (il reconnaît un peu son rayé puis réaffirme son point de vue)
Resp. chantier  – J’entends bien et je sais à présent que c’est votre façon de fonctionner. J’en tiendrai compte les mois suivant.
(il accuse réception du besoin de l’autre et s’engage à le respecter). De mon côté, je suis embêté pour ce qui est déjà fait et qui représente pour moi un supplément conséquent (Diagonale de l’expression, il exprime son transparent). Pour le mois écoulé, je vous propose de faire le point à trois avec votre chef de chantier et si nécessaire d’aller ensemble sur le terrain pour que vous constatiez vous-même le bien fondé des modifications. Qu’en pensez-vous ? (il fait une proposition qui tient compte des deux points de vue).

3e exemple : Henri, chef de Jean, lui a confié un projet urgent il y a déjà deux semaines et, apparemment, Jean n’a pas encore commencé. Henri se rend dans le bureau de Jean.

Henri, le chef – Bonjour Jean, je viens voir quand tu as l’intention de prendre ce projet en main ? (Jean rayé, légèrement ou fortement, ça dépend du ton de la voix et du non verbal)
Jean – Tu peux venir tous les jours, cela ne changera rien : j’ai 10 fois trop de travail (sa vérité : je ne suis pas rayé, je suis transparent).
Henri, le chef – Apparemment, ça t’énerve que je vienne m’intéresser à l’avancement de ce projet ?  (Diagonale de l’écoute, il reformule ce qu’il entend et qu’il voit)
Jean – Non, ce n’est pas ça : je sais que tu attaches de l’importance à ce projet…Mon problème, c’est que je n’arrête pas d’essayer de mettre des priorités et de m’y tenir (son transparent), mais cela tout le monde s’en fout : on me demande sans cesse de changer de priorité… Et vous n’êtes même pas d’accord entre vous (les autres rayés).
Henri, le chef – Tu as l’impression que nous ne tenons pas compte de toi et ne reconnaissons pas tes efforts ?  
(Diagonale de l’écoute, il reformule ce que l’autre leur reproche)
Jean – Tout à fait ! (il confirme la bonne écoute)
Henri, le chef – De mon côté, je suis inquiet ou embêté que ce projet n’avance pas… cette situation ne nous convient ni à l’un, ni à l’autre
(diagonale de l’expression). Je te propose de faire une réunion avec les différentes personnes qui te sollicitent pour définir ensemble des priorités,  qu’en penses-tu ? (Proposition)

Élargir nos regards, notre écoute et notre parole est un accouchement…

Entrer dans le réel…
Le mien… Je ne suis ni « tout transparent », ni « tout rayé », je suis ombre et lumière.
Et celui de l’autre… M’ouvrir à lui quand il devient « ennemi »…
C’est de là que tout part, que s’élargissent nos regards…

Comme si une vanne s’ouvrait à tant de nouveaux possibles.

« La ligne qui sépare le bien du mal ne passe pas entre les hommes mais au cœur de chaque homme ! »

Soljenitsyne

Notre regard a un pouvoir énorme

Les études scientifiques récentes le confirment, notamment l’effet Pygmalion et l’effet Golem mis en évidence par les psychologues Rosenthal et Jacobson.
Ils ont réalisé une première expérience avec des rats et une seconde avec des enfants dans une école de San Francisco. Dans les deux cas, ils divisaient arbitrairement le groupe en deux et informaient ceux qui s’en occupaient que les membres d’un des deux groupes avaient un potentiel nettement plus élevé. La prédiction fantaisiste s’est largement réalisée. Après analyse, il s’avère que ceux qui s’en occupaient ont manifesté de la sympathie, de la chaleur, de l’amitié, de la confiance à ceux qui étaient censés être particulièrement intelligents et inversement. Dans une certaine mesure, le résultat découvert peut s’exprimer ainsi : en pensant que quelqu’un possède une caractéristique, nous changeons notre propre attitude vis-à-vis de cette personne, et l’influençons de telle sorte qu’il va effectivement acquérir cette caractéristique ou la développer de façon plus flagrante. L’effet inverse s’appelle l’effet Golem et est tout aussi avéré : si nous n’avons pas confiance en quelqu’un, que nous le critiquons, le jugeons comme médiocre, il va devenir moins bon que ce qu’il est réellement.
Les entraîneurs et les professeurs qui pensaient disposer d’éléments plus performants, ont obtenu des résultats significativement supérieurs (effet Pygmalion) et inversement (effet Golem). On constate donc une amélioration ou une détérioration des performances d’un sujet en fonction du degré de croyance en sa réussite venant d’une autorité ou de son environnement. Notre regard sur l’autre, et sur nous-même, a le pouvoir de nous enfanter ou de nous enterrer… vie ou mort, nous avons le choix !

Ainsi, nous avons découvert que la violence commence dans notre regard chaque fois que nous nous réduisons ou que nous réduisons l’autre à « son rayé » ou à « son transparent ». Nous sommes invités à ne plus penser, vivre et agir en construisant des murs. Nous sommes appelés à devenir des constructeurs de ponts : apprendre à écouter ce que l’autre nous dit de lui et de nous (diagonale de l’écoute / empathie) et oser exprimer ce que nous vivons personnellement et par rapport à l’autre (diagonale de l’expression / assertivité)…

Apprendre à vivre dans le réel en apprivoisant notre lumière et notre ombre… et celles des autres.

Dans le prochain article, nous passerons à la 3ème clé de la Transition, « danser avec la vie… Oser et croire ! » Face au risque de se rigidifier, apprendre à être souple, à lâcher prise… Oser et faire confiance.

En attendant, si vous désirez vous former, vous entraîner, n’hésitez pas à consultez les formations sur mon site. S’il n’y a pas de dates prévues, n’hésitez à vous préinscrire. Ce n’est pas un engagement ferme, simplement une indication pour moi, s’il y a  un nombre suffisant de demandeurs, qu’il est temps de programmer une nouvelle session.

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Je vous souhaite d’expérimenter de plus en plus d’ouvertures, de murs transformés en passerelles… et de goûter, de contempler la Vie qui en découle !

Benoît

Photos : alamyimages.fr ; psy.be ; A&B. Thiran ; Robert Hupka

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L’auteur

Benoit Thiran

Benoit Thiran

Benoit Thiran, marié, père de 3 enfants, ingénieur commercial et de gestion, a derrière lui 29 années d’expérience professionnelle en gestion des relations et du changement, formation et coaching dans des secteurs très variés (multinationale, développement, non marchand, PME, projet BeLEAN à la SNCB). Il a une expérience particulière dans l’accompagnement des périodes de turbulences qui font partie du processus de transition pour aider les personnes et les groupes à découvrir le potentiel d’évolution qui s’y cache ! https://www.m-h-d.be/

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